Nous voici de retour au pays du pudding en folie. Je ne dis pas ça pour vous frustrer (loin de moi cette idée) mais lorsque nous avons quitté la France, il pleuvait, tandis que lorsque nous sommes arrivées en terre Britannique, Marion et moi, il faisait grand soleil. Étrange...
Fatiguées du train qui nous semble quelque peu monotone, nous avons opté cette fois pour l'avion, transport qui procure de délicieuses sensations lorsque l'on a la joie de tomber sur des "zones de turbulence". En plus on a pu faire des photos (voyez la Tamise miiiiiiiinuscule ?). Que du bonheur. Un peu déçues en revanche de l'hôtesse de l'air qui avait franchement l'air blasée en faisant ses gestes-qui-te-sauvent-la-vie-en-cas-de-crash. Si elle avait su comme j'attendais ça avec avidité, elle se serait un peu mieux appliquée cette bécasse.
Quelques déboires avec les bus par la suite, on aurait pu s'en douter, on a la poisse avec les bus en Angleterre Marion et moi. Mais après cette héroïque traversée de la manche, après avoir gagné le conté du Kent malgré les bus loupés et la roue de ma valise qui m'a lachée (vous zallez pas me gronder Grand-Père et Grand-Mère hein?), puis atteint le campus de Canterbury, j'ai fini par atteindre ma petite maison.
En arrivant je suis tombée sur le nouveau colloc qui remplace Ben l'américain : il s'est présenté, Andy, from Hong Kong, puis m'a gentiment proposé de l'aide pour monter ma valise. Il a l'air très ouvert et sociable, c'est bien. Après il s'est fait des nouilles qu'il a mangé avec des baguettes. Du coup, j'ai conclu que ça n'était pas un espion russe : C'est bel et bien un chinois.
A bientôt pour les prochaines aventures !
Fatiguées du train qui nous semble quelque peu monotone, nous avons opté cette fois pour l'avion, transport qui procure de délicieuses sensations lorsque l'on a la joie de tomber sur des "zones de turbulence". En plus on a pu faire des photos (voyez la Tamise miiiiiiiinuscule ?). Que du bonheur. Un peu déçues en revanche de l'hôtesse de l'air qui avait franchement l'air blasée en faisant ses gestes-qui-te-sauvent-la-vie-en-cas-de-crash. Si elle avait su comme j'attendais ça avec avidité, elle se serait un peu mieux appliquée cette bécasse.
Quelques déboires avec les bus par la suite, on aurait pu s'en douter, on a la poisse avec les bus en Angleterre Marion et moi. Mais après cette héroïque traversée de la manche, après avoir gagné le conté du Kent malgré les bus loupés et la roue de ma valise qui m'a lachée (vous zallez pas me gronder Grand-Père et Grand-Mère hein?), puis atteint le campus de Canterbury, j'ai fini par atteindre ma petite maison.
En arrivant je suis tombée sur le nouveau colloc qui remplace Ben l'américain : il s'est présenté, Andy, from Hong Kong, puis m'a gentiment proposé de l'aide pour monter ma valise. Il a l'air très ouvert et sociable, c'est bien. Après il s'est fait des nouilles qu'il a mangé avec des baguettes. Du coup, j'ai conclu que ça n'était pas un espion russe : C'est bel et bien un chinois.
A bientôt pour les prochaines aventures !
2 commentaires:
tes posts me manquaient....un régal de les lire!!!!!
pffff et chez nous il pleut depuis 2 jours! c'est le monde à l'envers
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